Joseph-Marie est un homme d’affaire avisé. Pour étendre ses activités, il souhaite rendre la fabrique la plus autonome possible. Il commence par établir en 1812 une convention d’extraction à perpétuité de la carrière locale de kaolin, dite terre blanche, matière essentielle à la fabrication du grès. Puis, en 1829, il achète le lieu-dit du Battoir où le vieux moulin à farine et à huile installé sur le canal dérivé de la Galaure lui servira à la préparation des pâtes et émaux.